Partagez cette histoire: Un peu plus de cent ans après le premier combat aérien, la technologie moderne met rapidement fin à l’ère des avions de combat
Un peu plus de cent ans après le premier combat aérien, la technologie moderne met rapidement fin à l’ère du chasseur à réaction
Si les combats aériens rapprochés ont commencé à prendre leur place à la fin de l’été 1914, 100 ans plus tard, leur importance est enfermée dans un piqué raide.
Le 25 août 1914, le lieutenant Euan Rebagliati du Royal Flying Corps britannique monta dans le siège de l’observateur d’un biplan Avro avec un fusil dans le creux de son bras – non pas qu’il avait des espoirs réalistes de marquer un coup sur un Allemand.
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Les tentatives précédentes de pionnier de la guerre aérienne, pendant la guerre italo-turque de 1912 et les premières semaines de la Première Guerre mondiale, se sont avérées ineptes, parfois comiques. Compte tenu de la futilité évidente de monter des armes sur les avions primitifs de l’époque, les pilotes volaient souvent sans armes et se faisaient simplement signe, car leur objectif principal était l’observation des mouvements de troupes et non les combats.
Mais le lieutenant. Rebagliati a décidé de tenter sa chance en étant le premier pilote britannique à abattre un avion ennemi, dans ce cas un monoplan allemand Taube. Le pilote allemand a riposté avec un pistolet.
Comme le journaliste et historien militaire Patrick Bishop décrit l’incident dans le livre de 2012, Wings: One Hundred Years of British Aerial Warfare: Ils se sont encerclés, s’enflamment, Rabagliati tirant une centaine de coups. Puis, il s’est rappelé plus tard: «Soudain, à ma joie intense, j’ai vu le pilote tomber en avant sur son joystick. «Il avait marqué l’un des premiers meurtres documentés en combat air-air.
Si les combats aériens rapprochés – qui devinrent bientôt connus sous le nom de combats aériens « – commencèrent à prendre leur place à la fin de l’été 1914, 100 ans plus tard, leur importance est enfermée dans un piqué raide.
Refusant au prix coûtant, le Canada et d’autres pays hésitent à passer à la prochaine génération d’avions de combat tout en réfléchissant à suivre l’exemple des Américains dans un monde de drones sans pilote. Les prochaines décennies verront probablement l’opérateur humain poussé hors du cockpit et dans le purgatoire relativement stérile du centre de commande distant, se terminant plus d’un siècle au cours duquel le pilote de chasse, le chevalier de l’air, »fut le plus romantique. figure dans la guerre moderne.
Alors que 1914 se tourna vers 1915, les expériences de guerre aérienne conduisirent à l’innovation et à des avions plus meurtriers, qui à leur tour créèrent une nouvelle classe de pilotes: les chasseurs. Des pilotes de chasse particulièrement talentueux, qui pouvaient prouver qu’un certain nombre de victoires étaient considérés comme des as. Certains jouissent de la renommée à ce jour, notamment Manfred von Richthofen, le Red Baron d’Allemagne », et deux Canadiens, Roy Brown, qui est crédité d’avoir abattu le Red Baron, et le meilleur as canadien, Billy Bishop. Comme d’autres aviateurs canadiens (et ils étaient tous des hommes à l’époque, et longtemps après), ils ont servi aux côtés de pilotes britanniques, car le Canada ne disposait pas encore d’une force aérienne propre.
La Première Guerre mondiale était une guerre mécanisée, un hachoir à viande », déclare Rénald Fortier, conservateur de l’histoire de l’aviation au Musée de l’aviation et de l’espace du Canada à Ottawa. Les pilotes ont mené une guerre relativement propre et chevaleresque par rapport à ceux coincés dans les tranchées.
Les aviateurs, en particulier les pilotes de chasse, sont montés seuls pour quelque chose de presque comme un combat unique. Les pilotes de chasse sont devenus des héros… des êtres divins », ajoute M. Fortier.
Comme le général Carl Tooey «Spaatz, premier chef de l’US Air Force pendant la Seconde Guerre mondiale, l’a dit plus tard, je suppose que nous nous considérions comme une race différente de chats… Nous avons volé dans les airs et d’autres personnes ont marché sur le sol. C’était aussi simple que ça. »
